Maître de la photographie et artiste incontournable de la scène contemporaine, David LaChapelle signe avec le Calendrier Lavazza 2020 un nouveau chapitre de son histoire et de celle du célèbre calendrier de la marque italienne.
Le grand prêtre du glamour provocant des années 90 et des golden years de l’Amérique a laissé derrière lui le monde de la mode et des célébrités pour s’installer dans une ferme à Hawaï et effectuer un retour à la nature. De son propre aveu « Il fallait bien que je grandisse, c’est le sens même de la vie. »(1)
Le photographe a réorienté son travail pour se concentrer sur les questions environnementales et la photographie de paysages. Une vision alignée avec celle de la marque et des nouvelles ambitions de son calendrier.
Avec Earth CelebrAction, Lavazza poursuit son engagement envers l’environnement
Le Calendrier Lavazza 2020 illustre avec force l’engagement pris par la marque italienne sur les questions du développement durable et de l’avenir de la planète. A travers le manifeste ‘Earth CelebrAction’, Lavazza entend célébrer le pouvoir de la beauté au service de l’action qui pousse chacun de nous à agir pour protéger l’environnement.
LaChapelle a exploré ce thème en offrant une histoire symbolique dans laquelle les éléments naturels ( eau, terre et air) s’associent en présence de l’Homme dans des scénarios passionnants. Cette évolution du photographe n’a en rien modifié l’esthétique éblouissante de ses photos qui a toujours caractérisé son style unique.
Les douze mois de l’année sont un hymne à la vie et au pouvoir transformateur de la beauté capable d’éveiller et d’illuminer les personnes, de les rendre conscients de la relation profonde qui les lient à leur environnement et de souligner la réciprocité de toute chose vivante.
Douze moi qui illustrent les commandements du manifeste Earth CelebrAction et à l’idée d’une reconnexion à la Terre pour en apprécier pleinement son importance.
Pour Francesca Lavazza, membre du conseil d’administration du groupe Lavazza « Tout comme la Terre est Lieu et Mère, nous devons aussi la protéger et prendre soin de ceux qui l’habitent. »
Nous célébrons la Terre, car c’est grâce à elle que nous existons.

Nous l’écoutons, afin de lui venir en aide.

Nous prenons conscience de son importance, et de notre importance pour elle.

Nous la défendons, et surtout de nous mêmes.

Nous prenons soin d’elle, car sa santé est notre santé.

Nous la soutenons, par nos efforts pour réduire notre impact.

Nous l’honorons, car elle nous a tout donné et nous a rien demandé.

Nous la nourrissons, pour la voir grandir à nouveau.

Nous nous reconnectons avec elle, pour vivre pleinement ses expériences.

Nous la respirons, car elle est la vie.

Nous la respectons, car elle est notre Mère.

Nous la changerons, si nous changeons nous mêmes.

Tout a commencé en 2015 avec la trilogie dédiée aux Earth Defenders par Steve McCurry, Joey Lawrence, et Denis Rouvre. De grands photographes qui ont permis avec humanité et empathie de représenter de façon inoubliable les visages des personnes qui protègent chaque jour leurs terres.
La recherche d’histoires capables d’illustrer un écosystème fragile mais en même temps chargé d’énergie vitale s’est poursuivie avec Platon qui a dédié en 2018 un projet ‘2030 What are you doing’ aux 17 Objectifs de Développement Durable promus par l’Organisation des Nations Unies. 2019 est l’année d’Ami Vitale, ancienne photographe du National Geographic mais aussi l’une des plus importantes reporters photo d’aujourd’hui, son calendrier documente six projets artistiques centrés sur la nature, en Thaïlande, au Maroc, en Suisse, en Colombie, au Kenya et en Belgique.
Les coulisses du shooting du calendrier Lavazza 2020
Les photographies du Calendrier Lavazza 2020 ont été réalisées à Hawaï, où LaChapelle vit depuis quelques années dans une ferme éco-responsable. C’est à cet endroit qu’il s’est intéressé à la photographie de paysages et s’est focalisé sur l’environnement.
« Réaliser le Calendrier ‘Earth CelebrAction’ pour Lavazza a été l’occasion idéale de poursuivre mon voyage imaginaire dans un paradis idyllique où l’Homme et la nature coexistent en harmonie. Je suis reconnaissant de la totale liberté d’expression que m’accorde une marque que je respecte, et qui respecte la planète Et enfin, je suis heureux d’avoir créé des images dont je suis entièrement satisfait. »





(1) Le Figaro https://www.lefigaro.fr/culture/2009/02/05/03004-20090205ARTFIG00395-david-lachapelle-il-fallait-bien-que-je-grandisse-.php